Gaffe pour John Kerry qui lors d'un discours sur les émissions de carbone Cop28 il entend le bruit d'un pet en arrière-plan. L'envoyé de l'administration Biden pour le climat discutait dimanche de la politique américaine concernant les centrales électriques au charbon lors de la Conférence sur le changement climatique à Dubaï, lorsque Kerry a peut-être lancé une "bombe en forme de bol". C’est du moins ce qu’écrivent plusieurs médias américains.
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L'ancien secrétaire d'État s'exprimait aux côtés de Becky Anderson, rédactrice en chef de CNN Abu Dhabi, et de Fatih Birol, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie, lorsque des applaudissements ont soudainement éclaté au milieu de la phrase. « Plus aucune centrale électrique au charbon ne devrait être autorisée nulle part dans le monde », a commencé Kerry avant de se lancer dans une diatribe anti-charbon.
"Je me trouve de plus en plus militant parce que je ne comprends pas comment des adultes en position de responsabilité peuvent éviter d'assumer la responsabilité de supprimer ces choses qui tuent des gens chaque jour." Avant que Kerry ne termine sa pensée, le bruit rugueux du gaz qui passe peut être entendu dans le microphone. La foule se met à applaudir, apparemment inconsciente de la situation.
Anderson de CNN – assise à la droite de Kerry et à une courte distance – bouge rapidement la tête sur le côté et lève discrètement la main vers sa bouche, peut-être pour cacher son embarras. Birol, le responsable du secteur de l'énergie, hoche simplement la tête, plongé dans une contemplation ravie. « Et la réalité est que la crise climatique et la crise sanitaire sont la même chose », poursuit sans relâche Kerry.
Larry O'Connor de Townhall Media a déclaré que les prétendues flatulences de Kerry constituaient un embarras pour les États-Unis. "Le plus gros problème est que, tout au long de l'échange, en nous représentant, les États-Unis d'Amérique, il a pété", a déclaré O'Connor. "Il s'est déchaîné avec des flatulences sur la scène internationale." L'expert a déclaré que les preuves étaient accablantes et que Kerry devait répondre de ses actes. « Il devrait perdre son emploi immédiatement », a-t-il déclaré.
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